Témoignages recueillis sur Tribus par JL Cerisier à Izé

Tribus n'avait rien à lui donc il était très mobile.

Tribus avait les cheveux longs

Tribus avait une barbichette.

Tribus avait un long porte-cigarette.

Tribus buvait pour retrouver l'usage de sa main qui tremblait.

Il appelait sa dose d'alcool un "sourire"

Tribus utilisait comme liant à ses peintures une colle qu'il fallait casser et mélanger aux pigments et il disait que cela améliorait la longévité de ses peintures (sans doute les peintures murales)

Tribus n'était pas un bon portraitiste aussi il agrandissait les photos et découpait des pochoirs pour les visages. Par contre il était excellent pour les transparences (voiles de mariés)

Tribus habitait vaec une femme à Izé.













Les histoires de cœur de Tribus sont nombreuses :

• A la Bazouge Tribus voulait épouser une fille de Vaiges
  Mais Mr M. d'Izé a dit à Jean-Louis Cerisier que "le curé aurait écrit en Italie et que Tribus y était divorcé"...
  Alors que le divorce en Italie était interdit par l'église donc le gouvernement... d'où le film "divorce à l'italienne" de 1961 : le divorce est illégal en Italie, le protagoniste fait tout pour que son épouse ait une aventure avec un autre homme, pour pouvoir les surprendre ensemble, la tuer et n’avoir qu’une peine légère pour crime d'honneur.
  
• A Evron Tribus a vécu avec une femme Marie-Josèphe M.